- Version québécoise des conseils de Monsieur Bill Gates

1. la vie est injuste, habitue toi.


2. le monde se fout de ton estime de soi. Le monde s'attend à ce que tu fasses quelques chose avant que tu ailles bien !


3. tu ne feras pas 60k$ par année en sortant de l’école. tu ne seras pas vice-président avec tout le luxe avant que tu ne le mérites.


4. si tu trouves ton prof tough, attends de voir tes boss.


5. travailler dans un fast food n’est pas insultant, tes grand-parents appelaient ca avoir une opportunité.


6. si tu te plantes, ce n’est pas de la faute de tes parents. ne te plains pas pour tes erreurs, apprends de celles-ci.

7. avant de naitre, tes parents n’avaient pas une vie plate comme aujourd’hui. ils ont une vie plate en payant tes factures, en lavant ton linge, en t’écoutant te plaindre, en écoutant te prétendre si cool. avant de changer le monde, fait le ménage de tes affaires.


8. l’école a fait disparaître la compétition, les gagnants et les perdants, mais la vie NON !


9. l’école ils te donnent toutes les chances de « passer », ce qui ne ressemble en rien en la vraie vie


10. la télé n'a rien a voir avec la vraie vie. Dans la réalité, les gens doivent quitter leur salon ou les endroits branchés et TRAVAILLER!


11 . sois gentil avec les tronches, parce que tu as de fortes chances de travailler pour l’un d’eux !



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- le constat de l'interventionnisme généralisé

N'est-ce pas notre plus important scandale, la plus grande erreur, de donner notre argent à tous ces profiteurs (aide gouvernementale aux entreprises établies, subventions...). Citons les banques, les constructeurs automobiles, nos artistes parvenus, l'industrie forestière...

Soyons fier, soyons un peuple fier, canadiens, québécois, canadiennes, québécoises, nord-américain(e)s. Nivelons par le haut.

Devrait-on donner de l'$ aux vendeurs de lampes à l'huiles parce que leurs ventes ont diminué dans le dernier siècle. Devrait-on donner de l'$ aux fabricants de VHS parce qu'ils n'en vendent plus, et aux trappeurs parce qu'ils sont maintenant plus rare qu'ils étaient, donnons notre argent à ceux qui font faillite également.

Si ca marche pas leurs affaires, c'est peut-être parce qu'ils sont imbéciles, mauvais gestionnaire, dépassés.

Un célèbre huluberlu, un richissime personnage, a par ailleurs fait le statement de l'année.
http://blogues.cyberpresse.ca/lapresseaffaires/cousineau/?p=607

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C'est possiblement parce que les lobbyistes mènent. Ils influencent nos politiciens. Nos pauvres politiciens, sincèrement, quel métier ingrat. Ces derniers sont victimes des médias sensationalistes, propulsés par les faiseurs d'images, qui dictent leur vie.

Pauvres politiciens. Je les plains sincèrement.



Pouvoir aux citoyens. Pouvoir aux familles. Pouvoir au peuple.





Power to the people

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- LA SOLUTION À LA CRISE:

RÉDUIRE LES IMPÔTS ET LES DÉPENSES
Au cours des dernières semaines, la grande majorité des organisations et des économistes canadiens, inspirés par les folies dépensières de Bush et d'Obama et par la logique keynésienne de « soutien à la demande », ont suggéré au ministre des Finances Jim Flaherty de présenter dans son prochain budget un plan de dépenses avec ou sans réduction d'impôt. Il y a unanimité sur l'inévitabilité et la nécessité d'un déficit.
L'Institut C.D. Howe s'est un peu distingué récemment en proposant des réductions d'impôt importantes pour encourager les investissements, sans augmentation majeure de dépenses, ce qui implique toutefois aussi un manque à gagner budgétaire. Cette logique, même si elle est bien moins néfaste que la précédente, n'est pas non plus une solution appropriée. On peut bien remettre de l'argent dans les poches des contribuables et des entreprises mais l'important n'est pas simplement de transférer de l'argent, mais des ressources réelles.
De l'argent, le gouvernement peut en trouver à la tonne en l'empruntant ou en l'imprimant, comme il l'a fait pendant la période de boom inflationniste qui a mené au présent krach. Un boom inflationniste ne crée cependant par plus de ressources réelles (on parle ici de main-d'oeuvre, de matériaux, de machines, d'édifices, etc.), même s'il en donne l'illusion. On pensait que cela générait de la prospérité; en fait, quelques secteurs comme l'immobilier ont connu une bulle insoutenable, l'endettement a atteint des niveaux record et on a dilapidé le capital qui aurait dû être investi dans des secteurs qui correspondent à une demande réelle et solvable. Ce qu'il faut pour permettre à ces déséquilibres de se purger graduellement et à l'économie de se réajuster, c'est une migration des ressources réelles des secteurs qui ont été artificiellement gonflés vers ceux qui n'ont pas pu croître autant qu'ils auraient dû dans un contexte normal.
Ainsi, une certaine proportion des travailleurs de la construction doivent cesser de construire des maisons à prix fou qui ne se vendront pas à moins qu'on continue à distribuer des hypothèques à des acheteurs insolvables, et trouver du travail dans un autre domaine. Les génies du secteur financier qui concoctaient des formules alchimiques pour justifier la vente de titres sans valeur doivent aussi se trouver des emplois plus productifs. Partout dans l'économie, des ressources réelles mal employées doivent d'abord être liquidées (ce qui implique temporairement du chômage, des ventes de feu, des fermetures d'usine, etc.) pour pouvoir se trouver un usage plus approprié où une richesse réelle sera produite de manière durable.
Pour que cela se produise, le gouvernement ne doit rien faire pour l'en empêcher. Moins il y aura d'entraves à cette migration des ressources, plus ce processus se produira rapidement et moins la crise sera longue. La pire chose à faire est de répéter les erreurs de la Grande Dépression, pendant laquelle les gouvernements ont pratiquement tout fait ce qu'il était possible de faire pour décourager les entrepreneurs et les investisseurs. La meilleure façon de contribuer à accélérer la reprise serait plutôt pour le gouvernement de s'enlever du chemin, d'éviter lui-même d'accaparer des ressources et même de rendre disponible au secteur privé des ressources qu'il utilise mal.

Les plans de dépenses et de travaux publics gigantesques par le gouvernement ont simplement pour effet d'empêcher ce réajustement. Le gouvernement accroît en effet dans ce cas sa demande pour des ressources réelles qui, au lieu d'être disponibles et de voir leur prix baisser, sont encore moins à la portée des entreprises qui souhaiteraient en employer davantage.
Les dépenses du gouvernement sont la plupart du temps basées sur des justifications politiques et non économiques. Elles ne correspondent pas nécessairement à une demande réelle. Le gouvernement les finance avec des impôts qu'il a soutirés aux contribuables et aux entreprises. On enlève d'une main ce qu'on redonne de l'autre, en créant du gaspillage et des distorsions additionnelles en route. C'est pourquoi augmenter les activités du gouvernement n'a pas pour effet de « soutenir l'économie », comme le répètent quotidiennement dans les médias les illettrés économiques, mais bien de la couler encore davantage. Ces dépenses publiques ne sont pas plus justifiées en période de ralentissement alors que des ressources semblent être inutilisées (des travailleurs qui sont au chômage ou des usines qui sont fermées) et qu'on se dit qu'il est tout de même préférable de les occuper à quelque chose. Avant de se trouver un usage plus pertinent, une ressource doit nécessairement passer par une période d'inactivité. Un réajustement prend nécessairement du temps. En venant s'accaparer ces ressources pour les activer de manière artificielle parce qu'il veut absolument intervenir à court terme, le gouvernement les empêche de trouver un usage plus productif dans le secteur privé et court-circuite donc la reprise à moyen terme.
La proposition de l'Institut C.D. Howe a le mérite de limiter les dégâts des plans de dépenses keynésiens. Sauf qu'en réduisant les impôts des entreprises et des contribuables sans diminuer les dépenses de l'État, on ne fait que placer le secteur privé et le gouvernement en concurrence l'un avec l'autre pour l'obtention de ressources réelles. Qui va obtenir les ressources qui correspondent à ces fonds de 26 milliards $ que le gouvernement retourne en baisse d'impôt mais qu'il continue aussi à dépenser en s'endettant? Il n'est pas du tout évident que ce soit le secteur privé qui en ressorte gagnant. Le gouvernement peut se permettre d'offrir un prix plus élevé (ou des salaires plus élevés) que des entreprises pour ces ressources, puisqu'il n'a aucune exigence de rentabilité. En finançant ses dépenses par la dette, le gouvernement vient aussi chercher dans l'économie réelle l'épargne qui pourrait servir à autre chose. Si les fonds additionnels dégagés par les baisses d'impôt se retrouvent à financer les dépenses du gouvernement (par l'achat de bons du Trésor), il n'y a en fin de compte rien de changé. Le gouvernement continue d'accaparer autant de ressources, la seule différence étant qu'il s'est endetté pour continuer à les utiliser.

La seule solution pour transférer concrètement des ressources réelles du secteur public au secteur privé est donc simple: réduire les impôts et réduire les dépenses du gouvernement, c'est-à-dire diminuer réellement la demande de l'État pour des ressources réelles. Dans ce cas, les fonds libérés vont concrètement permettre aux entreprises d'avoir accès à plus de ces ressources réelles, et à meilleur prix parce qu'elles n'auront pas des organismes gouvernementaux comme concurrents. Il faut souligner le courage et la présence d'esprit de mos amis de l'Institut Fraser qui, le 12 janvier dernier, conseillaient au ministre des Finances non seulement de réduire les impôts, mais aussi de réduire les dépenses et de maintenir le budget équilibré. Depuis tout le début de la crise, il s'agit de la première intervention publique par des individus ou des organisations au Canada qui va dans ce sens. L'Institut Fraser avait mal commencé ses interventions dans cette crise lorsque son président, Mark Mullins, un économiste néoclassique incohérent et confus comme la plupart de ses collègues qui ne connaissent pas l'économie autrichienne, avait stupidement affirmé à l'automne que des crises de ce genre sont normales parce que le capitalisme est un système fondamentalement instable. Selon lui, le gouvernement se devait d'intervenir pour empêcher la crise mais pas trop et seulement temporairement pour éviter de politiser l'économie. On a vraiment besoin que de prétendus défenseurs du libre marché viennent alimenter de la sorte les clichés marxistes qu'on entend un peu partout!
Même s'il n'utilise pas les mêmes arguments autrichiens que je présente ci-dessus, l'économiste senior de l'Institut, Niels Veldhuis, explique au moins clairement que le gouvernement est un poids mort dans l'économie et qu'il doit lui aussi réduire ses dépenses, comme le font tous les Canadiens: The most effective way for the federal government to help the Canadian economy is to reduce government spending and permanently decrease personal income and business taxes, says Niels Veldhuis, Fraser Institute senior economist."Canadians would benefit tremendously from tax relief aimed at improving incentives to work, invest, and engage in entrepreneurial activities. Incentive-based tax relief would improve Canada's competitiveness and provide a solid foundation for a vibrant economy unburdened by increased government debt in years to come," Veldhuis said. (...)
"Increasing government spending―whether it's on bailouts for inefficient industries or increased unemployment benefits―will lead to a deficit that will saddle Canadians with higher taxes in the future. There's no need for Canada to run a deficit other than a politically motivated desire to do so," Veldhuis said. (...) "Our government needs to follow the lead of many Canadian households and begin by trimming the fat, not taking on more debt."

La politique étant ce qu'elle est, le ministre des Finances et ses apparatchiks ne vont évidemment pas suivre ces conseils et s'appuyer sur la logique économique pour rédiger le budget du 27 janvier, mais plutôt sur la rentabilité politique. Les dernières rumeurs sont que le déficit pourrait atteindre 40 milliards de dollars. Le Canada s'apprête donc à s'enfoncer de nouveau dans le cercle vicieux de l'endettement, comme au début des années 1970. Seul parmi les pays du G7, il en était sorti de peine et de misère depuis le milieu des années 1990. Est-ce que ça prendra encore une fois 25 ans avant de voir la lumière au bout du tunnel?
« Cet article est reproduit avec la permission de l'auteur ».
Le Québécois Libre, Montréal, 15 janvier 2009 • No 263


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- ATTENTION AUX VOLEURS DE RÊVES

Votre succès futur dépend grandement de votre environnement et des gens que vous fréquentez sur une base régulière. Dans quelle ville et quel quartier demeurez-vous ? Qui sont vos collègues de travail ? Qui sont vos amis ? Quel genre d’attitude possèdent votre conjoint et les autres membres de votre famille ? Si je vous disais que vous pourriez changer complètement votre vie pour le meilleur simplement en faisant quelques ajustements dans votre environnement et dans le choix des gens qui font partie de votre cercle d’influence, le feriez-vous ? Probablement pas, pourquoi ? Parce que vous êtes dans votre zone de confort. Voyons ensemble ce que votre zone de confort apporte dans votre vie…

Prendre du recul
Prenez un peu de recul et regardez votre vie actuelle de façon réaliste. Êtes-vous vraiment en train de vivre la vie que vous rêviez alors que vous aviez 18 ans ? Êtes-vous pleinement satisfait et épanoui professionnellement ? Faites-vous autant d’argent que vous le méritez ? Prenez-vous autant de vacances que vous aimeriez ? Êtes-vous en relation avec la personne de vos rêves ? Avez-vous plusieurs amis proches sur qui vous pouvez compter en tout temps ? Avez-vous un beau physique et une santé de fer ?

Soyez honnêtes, vous pouvez faire mieux n’est-ce pas ? Afin d’y arriver toutefois vous devez absolument effectuer des changements dans votre cercle d’influence. Mais par où commencer me direz-vous ? Faites le test suivant…Comment identifier les voleurs de rêves dans votre viePrenez une idée, un projet ou un rêve qui germe en vous depuis longtemps mais qui nécessiterait que vous sortiez de votre zone de confort. Nous avons tous une ou des idées, projets ou rêves qui dorment à l’intérieur de nous. Ça pourrait être par exemple de changer d’emploi, de partir en affaires, de quitter une relation toxique, d’organiser une grosse levée de fonds pour des enfants défavorisés, de participer à un concours d’art oratoire ou de chanson, de mettre sur pied un tournoi de golf annuel, de faire le tour du monde en voilier, de déménager en Californie, de partir un club de ski, etc.Discutez ensuite de votre projet avec les gens qui font partie de votre cercle d’influence et écoutez leurs réactions. Prenez note en particulier de ceux qui vous feront des commentaires du genre : « Es-tu malade ? », « T’é complèment fou ! », « Tu rêves en couleur ! », « Ça ne marchera jamais ton affaire ! », « C’est trop risqué ! », « Tu devrais te trouver un vrai travail à la place! », « Un tel a déjà essayé et cela n’a pas fonctionné ! », « Un chausson avec ça ! », etc. CES PERSONNES DE VOTRE CERCLE D’INFLUENCE SONT CELLES QUE VOUS DEVEZ ECARTER LE PLUS POSSIBLE DE VOUS.

Ces personnes minent votre attitude positive, votre enthousiasme, votre jugement et votre confiance en vous. Pourquoi ces personnes ne vous encouragent-elles pas à la place ? Pourquoi ces personnes ne vous supportent pas ? Pourquoi ces personnes ne vous incitent-elles pas à réaliser vos projets ? Pourquoi ces personnes ne vous proposent pas leur aide pour vous aider à réussir ?

Voici quelques raisons :
- Parce qu’elles n’ont pas confiance en elles-mêmes ;
- Parce qu’elles ne se voient pas réussir un tel projet donc elles sont persuadées que vous ne le pouvez pas également ;
- Parce qu’elles ne vous aiment pas vraiment et ne veulent pas votre bonheur ;
- Parce qu’elles sont jalouses ;
- Parce qu’elles sont envieuses ;
- Parce qu’elles ne veulent pas vous perdre comme ami misérable ;
- Parce qu’elles ont une mauvaise attitude ;
- Parce qu’elles sont ignorantes ;
- Etc.
Est-ce vraiment le genre de personnes que vous désirez avoir dans votre cercle d’influence ? Des personnes qui n’ont pas confiance en elles-mêmes, qui ne veulent pas votre bonheur, qui sont jalouses, qui vous envient, qui veulent partager leurs misères, qui ont une mauvaise attitude ou qui sont ignorantes ? ÉVIDEMMENT QUE NON!

Regardez !
La prochaine fois qu’un « voleur de rêves » vous fait des remarques négatives par rapport à vos rêves, ouvrez grand les yeux et REGARDEZ BIEN. Oui regardez bien son style de vie, le quartier et la maison dans laquelle il vit, la voiture qu’il conduit, les vacances qu’il prend et les endroits où il va chaque année, sa santé et sa condition physique, son travail, son revenu annuel, ses amis, son niveau de bonheur et d’accomplissement personnel, etc. Et si vous ne changiez pas de place avec ce « voleur de rêves », demandez-vous qui est le plus fou des deux ?La prochaine fois que vous rencontrerez un « voleur de rêves », suivez ces cinq conseils :

1. Ne perdez pas d’énergie à répondre et à vous obstiner avec eux. Gardez plutôt votre énergie pour réaliser vos propres rêves. Ne vous abaissez pas à leur niveau.
2. Quittez cette personne en lui disant : « Peut-être as-tu raison et que mon projet ne fonctionnera pas. Je te laisserai savoir mon progrès. En passant, si ça fonctionne et que je commence à faire beaucoup d’argent, quand aimerais-tu que je te donne une chance de t’impliquer ? » ou encore « Peut-être as-tu raison et que mon projet ne fonctionnera pas, mais je préfère rêver en couleur que de vivre sans rêves ! ».
3. Une des plus grandes motivations des gagnants est de prouver aux autres qu’ils ont tort. Ne faites pas que parler de votre projet, faites-le avec passion, allez jusqu’au bout de votre ambition et prouvez-leur que vous aviez raison de croire en vous !
4. Changez d’environnement. Trouvez des endroits que fréquentent les gens qui ont du succès (chambre de commerce, association professionnelle, séminaires publics, gym, etc.) et investissez-y le plus de temps possible.
5. Plutôt que de partager vos rêves avec un « voleur de rêves », embauchez un coach ou trouvez-vous un mentor. Un bon coach ou un bon mentor va vous inspirer, vous éduquer, vous encourager et vous présenter à ses contacts. Avec son aide, vos chances de succès seront multipliées par dix !

Certains « voleurs de rêves » sont tellement négatifs que même lorsque vous allez commencer à obtenir du succès, ils vous diront : « Ça ne durera pas longtemps ! ». Quelle tristesse, n’est-ce pas ?
Votre succès futur dépend grandement de votre environnement et des gens que vous fréquentez sur une base régulière. Fuyez les « voleurs de rêves » et ne laissez entrer dans votre cercle d’influence que des gens qui vous encourageront et vous supporteront vers l’atteinte de vos rêves.

Copyright 2007© - Conférences et séminaires Patrick Leroux Inc.
Patrick Leroux CSP est conférencier professionnel et auteur de huit livres sur la motivation et les stratégies du succès. Vous pouvez le rejoindre au 450-932-3240 ou au 1-888-993-8882 et vous inscrire gratuitement à son bulletin du succès en cliquant sur www.patrickleroux.com <http://www.patrickleroux.com/>
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