article paru en novembre 2008

cfl deux point zéro
Nous nous devons de constater le beau potentiel de football au pays (franc succes de la coupe vanier puis de la coupe grey).

On retrouve beaucoup de fans de football dans notre beau grand pays. Ce sport doit être home stagé afin d’augmenter sa valeur, sa visibilité, en bout de compte, sa popularité.

Ce home staging saura plaire aux amateurs de sport canadiens.

Ce changement passe par quelques améliorations du football canadien, c'est-à-dire rendre plus universel notre football. Voici quelques exemples;
- augmenter de 3 à 4 essais.
- diminuer les dimensions du terrain
- relocaliser le poteau des buts
Trois points rejoignant le football américain.

On retrouve beaucoup de bons athlètes, d’athlètes de talent dans la CFL, le football à 3 essais devra céder sa place au football à 4 essais, afin de les mettre davantage en valeur. De plus, le football canadien devrait se jouer sur une surface similaire à celle du football américain, afin de plaire aux fans, en les rapprochant du jeu, la CFL serait plus accessible, plus excitant. Les joueurs, les coachs et surtout les fans adopteront massivement cette amélioration que doit impérativement effectué la CFL.

Ce coup d’éclat apportera une augmentation de la visibilité du nouveau football joué au Canada. La visibilité accroîtra, suite à cette amélioration. Ce sera bien accueilli par les fans sportifs de tout le Canada, et qui sait, même des fans des USA. Avant tout la CFL doit établir un solide plan de home staging, de concert avec les proprios des équipes, elle devra garder sa culture canadienne qui la caractérise, son identité, en demeurant au pays (règles des joueurs canadiens…), le tout malgré la petitesse de nos marchés canadiens. C’est pour ça qu’un bon plan de home staging fera boule de neige, le voici en quelques points;
- 4 essais
- terrain plus petit
- relocalisation du poteau des buts,
- ajout de franchises afin d'augmenter l'intérêt national, les rivalités
- étroit respect du plafond salarial
- bon partnership avec la NFL
- cédules plus régulières (vendredis soir, samedis et dimanches)
- saison débutant plus tôt
- valorisation des tailgates party

Le tout accroîtra la popularité de la CFL.

Pour les fans canadiens, cette dernière s’ouvrira à une plus vaste clientèle ce qui amènera une meilleure visibilité, donc plus de fans, plus de tv shows, plus de produits dérivés (merchandising). Des marchés comme Québec, Halifax, Saskatoon, Ottawa, London, St.Catharines, Moncton et Windsor manifesteront leur intérêt à cette nouvelle ligue. Une ligue revigorée par la prise en main de leur destinée.

Le succès quantifiable des dernières années du football dans les écoles secondaires et collégiales prouvent l’essor remarquable du football dans notre population, particulièrement auprès de la population jeune et active, mais aussi autour de ce groupe qui voit le football comme un happening, un produit intéressant.

Le succès incontournable de la ligue sportive la plus successfull sur la planète (NFL) doit nous inspiré ici dans notre pays. Si nous voulons garder vivante notre ligue de football, la développer et en être toujours plus fière, nous devons établir ce plan. Nous sommes fiers de notre ligue, nous devons nous inspirer des plus grands de ce monde.



Un fan de sport, de football.


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Québec mature ?




Difficile de contredire le fait que Québec est une ville fort dynamique depuis quelques années. Une ville dont la popularité de leurs équipes sportives est en plein essor.

Certains diront que le maire Labeaume a su redorer le blason de sa ville. Dans les médias certes le maire, ce qui a aider la population à avoir davantage confiance en leur ville, en leur sentiment d'appartenance. Concrètement le maire n’a pas fait grand-chose mis à part le move de mettre Daniel Gélinas en tête du 400e. Avec les argents qu’il disposait, ce dernier pouvait difficilement manquer son coup. Ils ont fait de Québec un gros festival d’été, grâce à leur maîtrise des communications avec les médias. Le maire n’a pas amener une équipe professionnelle de sport à Québec, il n’a baissé aucune taxe, n’a pas encore amélioré les services offerts à ses citoyens.


Le Rouge & Or au football, a été bâti par les Mike Labadie, Jacques Chapdelaine, Tanguay, Glen Constantin... Aussi les Remparts, au hockey, eux ont été bâti par les Tanguay, Patrick Roy, Michel Cadrin, Éric Lavigne... Et les Capitales au baseball par Miles Wolfe, Michel Laplante, Eddie Lantigua... Mais surtout, ces organisations ont été bati grâce à leurs nombreux partisans, citoyens de la région et des régions avoisinantes de la Capitale.

Citons ces 3 exemples. Ces organisations ont été établie dans les dernières décennies, des années où la culture prônait dans la vieille capitale, où elle prône toujours exagérément. Ces succès ont été bâti par des passionnés.

Ces 3 sports sont fort populaires dans la vieille capitale. Reste le soccer qui n’est pas représenté adéquatement, les médias locaux évitant ce sport.

La radio de Québec a été partenaire dans l'essor marqué des ces 3 succès. La radio est LE média le plus populaire dans cette région, un média incontournable. Étonnamment, plusieurs stations de radios (CHOI, NRJ, FM93, CITF, CFOM, RADIO-CANADA...) y diffusent. Tout comme le nombre élevés d’événements sportifs réussis, le nombre de stations de radios surprend pour un si petit marché. Ce marché en est un que je qualifierais de prolifique.

Deux personnages marquants de la radio ont eu leur mots à dire pour le réveil de l’économie de la région, nous parlons évidemment d'André Arthur et de Jeff Filion. Pour le plus vieux, qui s’est recyclé en ce qu’il décriait (en politicien), il a su sauvé le stade municipale, un joyau du centre-ville. Et le plus jeune lui a su populariser le football dans son show du matin à l’époque et il savait dénoncer les sujets tabous dans la région (sport, suicide, cigarette, politique, mairie…).

Québec a connu un superbe été touristique. Québec semble devenir une ville référence. On en parle de plus en plus dans les médias de la métropole québécoise. Le modèle de Québec est bon. Il faut cependant maintenir le cap, demeurer sensé, bâtir des projets avec des passionnés. Maintenant, ou en est Québec?

Québec doit continuer son développement. Et ce par le sport. N’oublions pas que le succès du Championnat Mondial de Hockey a été relié directement aux Tanguay qui ont remis leur profits au maire, ce qu’il lui a permi de réaliser ses coups d’éclats. Ne remettons pas l’avenir de la région à nos politiciens. Continuons notre développement nous-mêmes, citoyens de Québec avec nos passionnées, nos bâtisseurs, nos entrepreneurs.

Les salaires de la NHL sont exagérés. Est-ce suffisant pour abandonner le projet d’une équipe de ce circuit ici ? Bonne question. Le football, le baseball, le soccer demeurent les sports les plus mal représentés dans la région, les sports avec les plus grands potentiels.

Québec est vraiment mure pour une équipe de la CFL à Québec, une ligue qui diffuse ses parties à la télé. Le sport en installé très solidement implanté, populaire dans la région et dans le reste du Québec. La région est accessible et intéressé par ses régions avoisinantes de la province. Le Stade Municipal de Québec est l’endroit tout désigné pour y établir une équipe de football professionnelle. Un stade de 20 000 places dans le centre-ville, plusieurs villes en Amérique en rêve, nous on l’a. Reste son expansion, un agrandissement de 15 ou 20 000 sièges. Wow!

Un autre quartier de Québec se développerait, excellent pour notre économie!

Une équipe de la CFL pourra y évoluer, nos Capitales (qui devront impérativement jouer dans le calibre AAA sous peu, tout en demeurant indépendant) pourront y évoluer. Une équipe de soccer de la MLS pour rivaliser l’Impact, pourront y évoluer également. Un stade en plein centre-ville, c'est un site vraiment incroyable. Les soirées qui seront disponibles feront un magnifiques lieu pour y accueillir des concerts. Un projet fort rentable pour la communauté, fort rentable pour les propriétaires.

bc


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Les Capitales de Québec sur un réseau de télévision ?


Un petit texte ce matin pour faire une demande à RDS, une demande qui saura plaire aux amateurs de sport de la province de Québec. Ils aimeraient voir la série finale des Capitales dans la ligue CanAm sur les ondes de RDS. Apres le succès retentissant des Capitales cette saison au Stade Municipale, RDS ferait un excellent coup, et ce à peu de frais, en présentant la série finale de la Ligue CanAm sur leurs ondes. Une finale mettant aux prises les Capitales de Québec aux Tornadoes de Worcester

Avec les foules qui ont passé cette été à Québec, le risque n'est pas élevé. Les fans de baseball sont nombreux au Québec et j'invite les gens de BCE et de RDS à présenter du baseball de qualité sur leurs ondes, ca deviendra un succès certain, et ce à court et à moyen terme. Les Capitales deviendront le club de la province de Québec.

Les Capitales forment une excellente équipe, plusieurs joueurs de leur alignement ont joué des les calibres A, AA, AAA et dans les majeurs au courant de leur carriere. Citons les Pierre-Luc Laforest (Tampa Bay, San Diego, Philadelphie), Patrick Deschenes (organisation des Mets), Michel Simard (organisation des Angels), Derek McDaid (organisation des Padres), Éric Gagné (Dodgers, Brewers, Red Sox), Ivan Naccarata (organisation des Mets).. Un alignement de haut calibre dirigé par Michel Laplante un ancien de l'organisation des Braves d'Atlanta.

Avec le professionalisme et le dynamisme de l'organisation, les matchs des Capitales à RDS serait apprécié. Les Capitales, une équipe regorgeant de joueurs québécois.


Ou peut-être que TVA pourrait flairer la bonne affaire ? À moins que notre beaucoup trop couteuse télévision d'état s'en charge pour damer le pion à notre RDS, ce canal spécialisé fort populaire malgré ces exagérations partisanes pour son club de hockey, le Canadien de Montréal. Des pas de côté que l'on pardonne étant donné la compétente équipe d'animateurs du réseau.

Imaginez Jacques Doucet, Denis Casavant, Francois Paquet, Vince Cauchon, Alex d'agostini et Rodger Brulotte au micro, beaucoup de belles possibilités...


Vite les Capitales sur RDS!!




bc
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qui est paul desmarais senior?



Paul Desmarais (4 janvier 1927 à Sudbury - ) est un homme d'affaires canadien. Milliardaire, il est PDG de Power Corporation du Canada (PCC). Ses deux fils, Paul jr et André, occupent d'importantes responsabilités à l'intérieur de PCC.



Né d'une famille francophone établie en Ontario (franco-ontarien), il débuta en affaires lorsqu'il acheta une entreprise de transport par autobus qui était en quasi-faillite et qu'il paya symboliquement 1 CAD. Après quelques décennies, son entreprise contrôlait une grande partie du marché québécois et ontarien du transport par autobus.



Power Corporation du Canada (PCC), une entreprise en difficultés financières à l'époque, proposa à Desmarais d'en devenir le PDG afin d'en organiser le redressement. Desmarais en prit le contrôle avant de s'engager plus. Profitant de l'important fonds d'investissement de l'entreprise, Desmarais prit le contrôle d'une importante papeterie, Consolidated Bathurst (intégrée depuis dans Stone-Consolidated, ensuite fusionné pour former Abitibi-Consolidated, aujourd'hui Abitibi-Bowater).



Par la suite, PCC s'est diversifié sous la gouverne de Desmarais. Il a acquis le journal La Presse, ce qui lui a permis d'acquérir de l'expérience dans le domaine des médias écrits au Canada.
Alors qu'il recherchait des entreprises en Europe pour étendre l'influence de PCC, il a rencontré le financier belge Albert Frère au conseil d'administration de Paribas. Les deux hommes se sont découverts un alter ego appliquant les mêmes techniques financières : OPA amicale d'entreprises saines qui vivent des difficultés financières importantes, mais temporaires.
Il a deux fils, Paul jr et André (marié à France, la fille de l'ancien premier ministre du Canada Jean Chrétien), ainsi que deux filles, Sophie et Louise.



Il possède un grand domaine familial à Sagard, entre Saint-Siméon et Petit-Saguenay.
Paul Desmarais est l'ancien employeur de Pierre-Elliott Trudeau, Jean Chrétien, Paul Martin, Brian Mulroney ainsi que de Maurice Strong, le « père des Accords de Kyoto » qui a été mis à la porte pour avoir participé à une fraude de 10 milliards USD dans le cadre du programme Pétrole contre nourriture en Irak.



Paul Desmarais ou ses fils font partie de nombreuses associations dénoncées par la gauche, tels le groupe Bilderberg, le North American Competitiveness Council qui définit le Partenariat pour la sécurité et la prospérité, ainsi que le Council on Foreign Relations de la famille Rockefeller.
PCC collabore avec le Groupe Carlyle auprès de George W. Bush ainsi que du demi-frère de Nicolas Sarkozy.

Les liens en France



Liens d'affaires
Paul Desmarais (fils) est membre du conseil d'administration de Total SA, et de Suez. Ils s'allient fréquemment pour leurs opérations européennes avec le financier belge Albert Frère. Paul Desmarais (fils) est aussi membre du conseil d'administration et du groupe Lafarge.
La famille Desmarais entretient également des relations avec les dynasties industrielles françaises Dassault, Peugeot et Rothschild, entre autres.



Nicolas Sarkozy a privatisé les compagnies dans lesquelles Power Corporation a investi. Par l'entremise du groupe Carlyle, plusieurs projets de port méthaniers sont en développement dont les controversés projet Rabaska au Québec et celui de Nord Médoc en France[1].

L'évasion de Paribas
En 1981, pour contrecarrer la nationalisation de Paribas voulue par François Mitterrand, alors fraîchement élu Président de la République, Paul Desmarais se lance, en compagnie d'Albert Frère et d'autres hommes d'affaires européens, dans l'Opération Arche de Noé. Il s'agissait de récupérer les filiales belge (Copeba) et suisse de Paribas (Paribas Suisse), en lançant une OPE par l'intermédiaire d'une société suisse, Pargesa. L'opération échoue, mais permet à Paul Desmarais de se lier à d'importants financiers et politiciens européens.

Amitié avec Nicolas Sarkozy
Selon Le Figaro[2], il serait un proche du Président de la République française, Nicolas Sarkozy. Paul Desmarais Sr était ainsi de la fête tenue au Fouquet's pour célébrer l’élection du nouveau président français le 6 mai 2007.



En 2004, Nicolas Sarkozy a séjourné dans son domaine situé à Sagard, dans Charlevoix, à une bonne distance du fleuve Saint-Laurent. « Quand tu entres dans la propriété, on t'ouvre un premier portail. Ensuite, tu dois faire des kilomètres et des kilomètres avant d'arriver au château », racontait Nicolas Sarkozy à propos du fief de son ami Desmarais.



Le 16 février 2008, Paul Desmarais a été fait Grand-Croix de la Légion d'honneur par Nicolas Sarkozy. Plusieurs articles dans la presse se sont fait l'écho à cette occasion des liens anciens qui unissent Messieurs Sarkozy et Desmarais, mettant en lumière l'éventuel soutien financier que le premier aurait reçu du deuxième dans sa remise en selle après 1995[3]. Depuis, les positions de M. Sarkozy qui n'a vraisemblablement pas d'opinion personnelle sur le statut de la Belle Province suivraient à la lettre les consignes de son ami Desmarais dont les intérêts à Ottawa sont bien connus

Vibrant hommage de Don Cherry



Court éditorial à propos d'un personnage important dans le monde du hockey au Canada. Un personnage injustement décrié dans les médias montréalais, il s'agit du savoureux et sympathique Don Cherry dont le joueur favori, toute époque confondu, est le légendaire Guy Lafleur.

Hier soir sur les ondes de CBC, Don Cherry a livré un hommage,rempli d'émotions sentis, au jeune Pélo (Alexandre Péloquin), le 119e soldat à mourir pour le pays en Afghanistan. Nous sommes tous contre la guerre, mais ce matin, aucun média de Montréal ne mentionne cet hommage digne des grosses manchettes, on en parle seulement que sur votre site favori, http://www.blogduncitoyen.blogspot.com/ .


(à 6m14)

Sincères condoléances aux proches d'Alexandre Péloquin.

- La KHL à Québec ?

27 mai 2009
Suite aux récentes déclarations de Patrick Roy concernant son avenir, nous pouvons nous permettre de lui lever notre chapeau. L’ancien 33 a soulevé les raisons familiales, sincères raisons, des raisons louables à mon avis. Raisons qui ont su orienté Roy dans ses décisions, fidèle à ses propos. Roy est conséquent de ses paroles, c’est un vrai. La NHL ce n’est pas tout, le timing doit y être, un modèle ce Roy. Ce dernier veut rester à Québec, savourant l’appui qu’il a dans la ville. Cette décision maintient fortement le courant positif que tous sentent dans la Vieille Capitale depuis quelques temps. Ça s’est amorcé avec le succès remarquable du Rouge & Or football, le succès obtenu aux Championnat Mondial de hockey l’an dernier, le succès du Challenge Bell, le belles foules du tournoi des PeeWee du Carnaval, ya aussi les belles foules aux Remparts, les deux acquisitions majeures des Capitales pour l’été 2009 (Pierre-Luc Laforest & Éric Gagné), un été qui s’annonce vraiment super. Le sport et ses répercussion$ se porte extrememnt bien à Québec.

La KHL à Québec ?
En considérant les propos de M. Alexander Medvedev (GazProm),
(Faut lire http://ruefrontenac.com/sportengueule/4917-dfugere-medvedev)
les possibilités de Québec sont très bonnes. M. Medvedev est le Président-bâtisseur de la KHL, la Ligue Continentale de Hockey (Russe).

En considérant les actions et paroles du très présent Maire Labeaume concernant sa vision de grandeur et de visibilité pour sa ville, tout est possible. Il voit grand le maire, il est futé, il est bien entouré, il a beaucoup de succès. Cet homme d’envergure s’est par contre tue sur les ondes de CHOIFM alors qu’on lui posait des questions sur l’éternel possibilité d’un retour d’un club de hockey majeur (lire NHL) à Québec.

En considérant l’intérêt de Jim Balsillie (Research In Motion) d’amener un club de la NHL au Canada bafoué subtilement par Gary Bettman. Les actions de Balsillie brimées par le populaire commissaire de la NHL. Bettman protége ainsi les intérêts de ses propriétaires (surtout ceux de Montréal et Toronto qui ne veulent pas partager leur lucratif marché). Ainsi Bettman garde son poste, et de belle façon, il a le vote de confiance de ses propriétaires influents. Donc la NHL ne veut pas de Québec, ni de Hamilton, c’est certain.

Quelles options s’interposent pour Québec ? Un nouveau produit ? Une ligue internationale de hockey? Trop coûteux, trop risqué. La KHL (Ligue Continentale de Hockey)? Peut-être bien.

Voici quelques faits sur la KHL suite à mes recherches;

- 24 équipes composent la KHL
- calendrier de 56 matchs
- de plus en plus de joueurs connus (Jagr, Radulov, Yashin, Morozov…)
- aucun plafond salarial connu
- aucun coût de franchise connu

(Consultez http://fr.wikipedia.org/wiki/Ligue_continentale_de_hockey & http://www.en.khl.ru/ pour plus de détails).

Est-ce que la KHL va avoir des expansions en Amériques ? Pourquoi pas. Suite à la lecture de l’article
http://www.radio-canada.ca/sports/hockey/2009/05/20/003-medvedev-mercredi.shtml
trois équipes de la NHL intéresse Medvedev. Selon moi, trois marchés sont fort plausibles (Hamilton, Winnipeg et Québec), trois marchés dynamiques, trois marchés naturels de hockey, trois marchés qui veulent du hockey de haut calibre. De plus ces trois villes sauraient créer des rivalités entre elles. La KHL ferait un coup de maître en s'accociant à ces trois marchés. Le trois marchés gagneraient énormément en visibilités touristiques (auprès de la clientèle européennes) & affaires (visibilité des partenaires commerciaux) en allant jouer en Europe et en Russie. Cette vitrine, de faire partie de la KHL, permettraient à la ville de Québec (même chose pour Hamilton & Winnipeg) de percer le marché européen et russe (touri$me et affaire$). Lorsqu'une équipe de la Ligue Kontinentale se pointerait au Canada, elle pourrait jouer 2 matchs dans chaque ville, à tour de rôle, Vous savez tout comme moi, que les 2e matchs dans la même ville créerait de bonnes ambiances, de l'animosité, des rivalités spectaculaires.




N'oublions pas que Montréal & Gary Bettman sont les deux artisans d'influences majeures contre la venue de la NHL à Québec, protégeant ainsi leur marché lucratif, établi.




Est-ce que les Nordiques de la KHL sauront rendre heureux leurs partisans de Québec et des environs (Chaudière Appalaches (Lévis), Trois-Rivières, Charlevoix, Bas-St-Laurent...) ? Il est fort plausible qu'une équipe solidement implantée à Québec puisse accueillir plus de 10 milles spectateurs pour une 30aine de parties au Colisée. Dans le futur, peut-être que le projet de M. Mario Bédard saura se matérialiser avec cette équipe de la KHL (http://www.jaimaplace.com/). Fort à parié que plusieurs réseaux canadiens seront intéressés par ce hockey, facile de nommer les TVA, Radio-Canada, Global, Sportsnet, TheScore et même TQS qui devraient s'y intéresser, et ce rapidement.




Qu’en pensez-vous ?

Et si on bâtissait une équipe de joueurs québécois, canadiens, afin d'avoir une équipe de hockey professionnelle.

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- GAME OVER Gagné à Québec!!


Wild Thing Gagné à Québec

La capitale du Baseball au Québec, c’est Québec.

Une bien bonne nouvelle attend tous les amateurs de balle de Québec aujourd’hui. Eric Gagné s’amène dans la vielle Capitale avec l’espoir de relancer une carrière qui disons le franchement était sur son déclin depuis 3 ans. C’est comme partant que Éric Gagné tentera de faire sa marque avec l’équipe qui représente maintenant les québécois, c'est-à-dire nos nouvelles z’amour : les Capitales de Québec.

Québec city, ville de Baseball. Rien à envier à Montréal qui se tourne maintenant vers le soccer (c’est super malgré le calibre) et bien sur le hockey des Centenaires, euh des Canadiens.

La venue de Gagné à Québec suscitera énormément d’intérêt. L’excellent travail de Laplante aux fils des années rapporte beaucoup aux Capitales. Après Laforest, voici Éric Gagné, un récipiendaire du Cy Young. Un gros merci à Miles Wolfe de faire confiance années après années à Michel Laplante, sympathique individu. Un gros merci à Pierre-Luc Laforest & Ivan Naccarata (autre sympathique membre des Capitales et bon ami de Russell Martin). Ces derniers qui ont su convaincre Gagné de s’amener à Québec, ville de sport, dynamique, qui est sur une lancée. Mais surtout aux Capitales, l’équipe de Michel Laplante. Un gros coup pour la ville de Québec.

Va falloir maintenant agrandir le stade, en faire un de 20000 places, et y accueillir du baseball calibre AA l’an prochain, indépendant et non affilié. Miles Wolfe réussi bien à Québec, tel un excellent homme d’affaire. Risquera-t-il de plaire avantage aux amateur de sports et de baseball de la région en améliorant son produit ou est-ce qu’il gardera cette équipe de calibre inférieur qui fera ses profits cette année ?











BC&PETE

- Ovy, 8, Alexander Ovechkin

Regardez ca!







Du bonbon!

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- Le Plus Grand

Le numéro 23, MJ, Air Jordan.



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- vie





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- deux poids, deux mesure

Appelé à commenter l'effondrement des marchés boursiers depuis le début de la semaine, le président Obama a simplement répondu que les gens devraient profiter de l'occasion pour acheter des actions à bas prix.

Stephen Harper avait fait une déclaration similaire lors de la dernière élection fédérale. Une déclaration qui avait été vertement critiquée par les médias.

Mais parions que grâce à ses amis journalistes, Obama va s'en sortir indemne.


Merci à David
http://www.radiopirate.com/dev/v3/mods/frm.php?url=http://www.antagoniste.net/


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- Libertarien

Le mot « libertarien » est la translitération en français de l'anglais « libertarian », lui-même traduction anglaise du français « libertaire ». Ce néologisme a été inventé afin de distinguer les libertariens des libéraux des Etats-Unis, à gauche de l'échiquier politique, le libertarianisme se faisant le promoteur d'un capitalisme sans entrave (on parle aussi d'anarcho-capitalisme) au nom de la liberté individuelle. Ce mouvement est né dans les années 1970 aux Etats-Unis, avec la publication du livre de Robert Nozick, Anarchie, État et utopie, qui critiquait la Théorie de la justice (1971) de John Rawls et notamment son « principe de différence » [1].

Le libertarianisme est une philosophie politique prônant la liberté absolue des individus de faire ce que bon leur semble de leur personne et de leur propriété, ce qui implique qu'ils n'empiètent pas sur cette même liberté des autres. Les libertariens ont comme maxime fondamentale que toute interaction humaine doit être volontaire et consensuelle. Ils affirment que prendre l'initiative de la force physique contre une autre personne ou la propriété de cette personne, menacer de le faire, ou commettre une tromperie contre toute personne, constitue une violation de ce principe. La force utilisée contre les autres est considérée par les libertariens comme étant illégitime, sauf dans le cas de défense ou de réparation vis-à-vis d'une agression initiale (principe de non-agression).

Il existe au sein de la mouvance libertarienne deux grandes tendances, l'une minarchiste (qui s'apparente au libéralisme classique), qui considère que les pouvoirs de l'État devraient être strictement limités à la défense des libertés individuelles, et l'autre anarcho-capitaliste, qui considère que les pouvoirs de l'État devraient être supprimés. Cependant, toutes deux s'accordent sur le principe fondamental de souveraineté individuelle qu'elles partagent également avec le courant de l'anarchisme individualiste.

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- Version québécoise des conseils de Monsieur Bill Gates

1. la vie est injuste, habitue toi.


2. le monde se fout de ton estime de soi. Le monde s'attend à ce que tu fasses quelques chose avant que tu ailles bien !


3. tu ne feras pas 60k$ par année en sortant de l’école. tu ne seras pas vice-président avec tout le luxe avant que tu ne le mérites.


4. si tu trouves ton prof tough, attends de voir tes boss.


5. travailler dans un fast food n’est pas insultant, tes grand-parents appelaient ca avoir une opportunité.


6. si tu te plantes, ce n’est pas de la faute de tes parents. ne te plains pas pour tes erreurs, apprends de celles-ci.

7. avant de naitre, tes parents n’avaient pas une vie plate comme aujourd’hui. ils ont une vie plate en payant tes factures, en lavant ton linge, en t’écoutant te plaindre, en écoutant te prétendre si cool. avant de changer le monde, fait le ménage de tes affaires.


8. l’école a fait disparaître la compétition, les gagnants et les perdants, mais la vie NON !


9. l’école ils te donnent toutes les chances de « passer », ce qui ne ressemble en rien en la vraie vie


10. la télé n'a rien a voir avec la vraie vie. Dans la réalité, les gens doivent quitter leur salon ou les endroits branchés et TRAVAILLER!


11 . sois gentil avec les tronches, parce que tu as de fortes chances de travailler pour l’un d’eux !



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- le constat de l'interventionnisme généralisé

N'est-ce pas notre plus important scandale, la plus grande erreur, de donner notre argent à tous ces profiteurs (aide gouvernementale aux entreprises établies, subventions...). Citons les banques, les constructeurs automobiles, nos artistes parvenus, l'industrie forestière...

Soyons fier, soyons un peuple fier, canadiens, québécois, canadiennes, québécoises, nord-américain(e)s. Nivelons par le haut.

Devrait-on donner de l'$ aux vendeurs de lampes à l'huiles parce que leurs ventes ont diminué dans le dernier siècle. Devrait-on donner de l'$ aux fabricants de VHS parce qu'ils n'en vendent plus, et aux trappeurs parce qu'ils sont maintenant plus rare qu'ils étaient, donnons notre argent à ceux qui font faillite également.

Si ca marche pas leurs affaires, c'est peut-être parce qu'ils sont imbéciles, mauvais gestionnaire, dépassés.

Un célèbre huluberlu, un richissime personnage, a par ailleurs fait le statement de l'année.
http://blogues.cyberpresse.ca/lapresseaffaires/cousineau/?p=607

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C'est possiblement parce que les lobbyistes mènent. Ils influencent nos politiciens. Nos pauvres politiciens, sincèrement, quel métier ingrat. Ces derniers sont victimes des médias sensationalistes, propulsés par les faiseurs d'images, qui dictent leur vie.

Pauvres politiciens. Je les plains sincèrement.



Pouvoir aux citoyens. Pouvoir aux familles. Pouvoir au peuple.





Power to the people

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- LA SOLUTION À LA CRISE:

RÉDUIRE LES IMPÔTS ET LES DÉPENSES
Au cours des dernières semaines, la grande majorité des organisations et des économistes canadiens, inspirés par les folies dépensières de Bush et d'Obama et par la logique keynésienne de « soutien à la demande », ont suggéré au ministre des Finances Jim Flaherty de présenter dans son prochain budget un plan de dépenses avec ou sans réduction d'impôt. Il y a unanimité sur l'inévitabilité et la nécessité d'un déficit.
L'Institut C.D. Howe s'est un peu distingué récemment en proposant des réductions d'impôt importantes pour encourager les investissements, sans augmentation majeure de dépenses, ce qui implique toutefois aussi un manque à gagner budgétaire. Cette logique, même si elle est bien moins néfaste que la précédente, n'est pas non plus une solution appropriée. On peut bien remettre de l'argent dans les poches des contribuables et des entreprises mais l'important n'est pas simplement de transférer de l'argent, mais des ressources réelles.
De l'argent, le gouvernement peut en trouver à la tonne en l'empruntant ou en l'imprimant, comme il l'a fait pendant la période de boom inflationniste qui a mené au présent krach. Un boom inflationniste ne crée cependant par plus de ressources réelles (on parle ici de main-d'oeuvre, de matériaux, de machines, d'édifices, etc.), même s'il en donne l'illusion. On pensait que cela générait de la prospérité; en fait, quelques secteurs comme l'immobilier ont connu une bulle insoutenable, l'endettement a atteint des niveaux record et on a dilapidé le capital qui aurait dû être investi dans des secteurs qui correspondent à une demande réelle et solvable. Ce qu'il faut pour permettre à ces déséquilibres de se purger graduellement et à l'économie de se réajuster, c'est une migration des ressources réelles des secteurs qui ont été artificiellement gonflés vers ceux qui n'ont pas pu croître autant qu'ils auraient dû dans un contexte normal.
Ainsi, une certaine proportion des travailleurs de la construction doivent cesser de construire des maisons à prix fou qui ne se vendront pas à moins qu'on continue à distribuer des hypothèques à des acheteurs insolvables, et trouver du travail dans un autre domaine. Les génies du secteur financier qui concoctaient des formules alchimiques pour justifier la vente de titres sans valeur doivent aussi se trouver des emplois plus productifs. Partout dans l'économie, des ressources réelles mal employées doivent d'abord être liquidées (ce qui implique temporairement du chômage, des ventes de feu, des fermetures d'usine, etc.) pour pouvoir se trouver un usage plus approprié où une richesse réelle sera produite de manière durable.
Pour que cela se produise, le gouvernement ne doit rien faire pour l'en empêcher. Moins il y aura d'entraves à cette migration des ressources, plus ce processus se produira rapidement et moins la crise sera longue. La pire chose à faire est de répéter les erreurs de la Grande Dépression, pendant laquelle les gouvernements ont pratiquement tout fait ce qu'il était possible de faire pour décourager les entrepreneurs et les investisseurs. La meilleure façon de contribuer à accélérer la reprise serait plutôt pour le gouvernement de s'enlever du chemin, d'éviter lui-même d'accaparer des ressources et même de rendre disponible au secteur privé des ressources qu'il utilise mal.

Les plans de dépenses et de travaux publics gigantesques par le gouvernement ont simplement pour effet d'empêcher ce réajustement. Le gouvernement accroît en effet dans ce cas sa demande pour des ressources réelles qui, au lieu d'être disponibles et de voir leur prix baisser, sont encore moins à la portée des entreprises qui souhaiteraient en employer davantage.
Les dépenses du gouvernement sont la plupart du temps basées sur des justifications politiques et non économiques. Elles ne correspondent pas nécessairement à une demande réelle. Le gouvernement les finance avec des impôts qu'il a soutirés aux contribuables et aux entreprises. On enlève d'une main ce qu'on redonne de l'autre, en créant du gaspillage et des distorsions additionnelles en route. C'est pourquoi augmenter les activités du gouvernement n'a pas pour effet de « soutenir l'économie », comme le répètent quotidiennement dans les médias les illettrés économiques, mais bien de la couler encore davantage. Ces dépenses publiques ne sont pas plus justifiées en période de ralentissement alors que des ressources semblent être inutilisées (des travailleurs qui sont au chômage ou des usines qui sont fermées) et qu'on se dit qu'il est tout de même préférable de les occuper à quelque chose. Avant de se trouver un usage plus pertinent, une ressource doit nécessairement passer par une période d'inactivité. Un réajustement prend nécessairement du temps. En venant s'accaparer ces ressources pour les activer de manière artificielle parce qu'il veut absolument intervenir à court terme, le gouvernement les empêche de trouver un usage plus productif dans le secteur privé et court-circuite donc la reprise à moyen terme.
La proposition de l'Institut C.D. Howe a le mérite de limiter les dégâts des plans de dépenses keynésiens. Sauf qu'en réduisant les impôts des entreprises et des contribuables sans diminuer les dépenses de l'État, on ne fait que placer le secteur privé et le gouvernement en concurrence l'un avec l'autre pour l'obtention de ressources réelles. Qui va obtenir les ressources qui correspondent à ces fonds de 26 milliards $ que le gouvernement retourne en baisse d'impôt mais qu'il continue aussi à dépenser en s'endettant? Il n'est pas du tout évident que ce soit le secteur privé qui en ressorte gagnant. Le gouvernement peut se permettre d'offrir un prix plus élevé (ou des salaires plus élevés) que des entreprises pour ces ressources, puisqu'il n'a aucune exigence de rentabilité. En finançant ses dépenses par la dette, le gouvernement vient aussi chercher dans l'économie réelle l'épargne qui pourrait servir à autre chose. Si les fonds additionnels dégagés par les baisses d'impôt se retrouvent à financer les dépenses du gouvernement (par l'achat de bons du Trésor), il n'y a en fin de compte rien de changé. Le gouvernement continue d'accaparer autant de ressources, la seule différence étant qu'il s'est endetté pour continuer à les utiliser.

La seule solution pour transférer concrètement des ressources réelles du secteur public au secteur privé est donc simple: réduire les impôts et réduire les dépenses du gouvernement, c'est-à-dire diminuer réellement la demande de l'État pour des ressources réelles. Dans ce cas, les fonds libérés vont concrètement permettre aux entreprises d'avoir accès à plus de ces ressources réelles, et à meilleur prix parce qu'elles n'auront pas des organismes gouvernementaux comme concurrents. Il faut souligner le courage et la présence d'esprit de mos amis de l'Institut Fraser qui, le 12 janvier dernier, conseillaient au ministre des Finances non seulement de réduire les impôts, mais aussi de réduire les dépenses et de maintenir le budget équilibré. Depuis tout le début de la crise, il s'agit de la première intervention publique par des individus ou des organisations au Canada qui va dans ce sens. L'Institut Fraser avait mal commencé ses interventions dans cette crise lorsque son président, Mark Mullins, un économiste néoclassique incohérent et confus comme la plupart de ses collègues qui ne connaissent pas l'économie autrichienne, avait stupidement affirmé à l'automne que des crises de ce genre sont normales parce que le capitalisme est un système fondamentalement instable. Selon lui, le gouvernement se devait d'intervenir pour empêcher la crise mais pas trop et seulement temporairement pour éviter de politiser l'économie. On a vraiment besoin que de prétendus défenseurs du libre marché viennent alimenter de la sorte les clichés marxistes qu'on entend un peu partout!
Même s'il n'utilise pas les mêmes arguments autrichiens que je présente ci-dessus, l'économiste senior de l'Institut, Niels Veldhuis, explique au moins clairement que le gouvernement est un poids mort dans l'économie et qu'il doit lui aussi réduire ses dépenses, comme le font tous les Canadiens: The most effective way for the federal government to help the Canadian economy is to reduce government spending and permanently decrease personal income and business taxes, says Niels Veldhuis, Fraser Institute senior economist."Canadians would benefit tremendously from tax relief aimed at improving incentives to work, invest, and engage in entrepreneurial activities. Incentive-based tax relief would improve Canada's competitiveness and provide a solid foundation for a vibrant economy unburdened by increased government debt in years to come," Veldhuis said. (...)
"Increasing government spending―whether it's on bailouts for inefficient industries or increased unemployment benefits―will lead to a deficit that will saddle Canadians with higher taxes in the future. There's no need for Canada to run a deficit other than a politically motivated desire to do so," Veldhuis said. (...) "Our government needs to follow the lead of many Canadian households and begin by trimming the fat, not taking on more debt."

La politique étant ce qu'elle est, le ministre des Finances et ses apparatchiks ne vont évidemment pas suivre ces conseils et s'appuyer sur la logique économique pour rédiger le budget du 27 janvier, mais plutôt sur la rentabilité politique. Les dernières rumeurs sont que le déficit pourrait atteindre 40 milliards de dollars. Le Canada s'apprête donc à s'enfoncer de nouveau dans le cercle vicieux de l'endettement, comme au début des années 1970. Seul parmi les pays du G7, il en était sorti de peine et de misère depuis le milieu des années 1990. Est-ce que ça prendra encore une fois 25 ans avant de voir la lumière au bout du tunnel?
« Cet article est reproduit avec la permission de l'auteur ».
Le Québécois Libre, Montréal, 15 janvier 2009 • No 263


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- ATTENTION AUX VOLEURS DE RÊVES

Votre succès futur dépend grandement de votre environnement et des gens que vous fréquentez sur une base régulière. Dans quelle ville et quel quartier demeurez-vous ? Qui sont vos collègues de travail ? Qui sont vos amis ? Quel genre d’attitude possèdent votre conjoint et les autres membres de votre famille ? Si je vous disais que vous pourriez changer complètement votre vie pour le meilleur simplement en faisant quelques ajustements dans votre environnement et dans le choix des gens qui font partie de votre cercle d’influence, le feriez-vous ? Probablement pas, pourquoi ? Parce que vous êtes dans votre zone de confort. Voyons ensemble ce que votre zone de confort apporte dans votre vie…

Prendre du recul
Prenez un peu de recul et regardez votre vie actuelle de façon réaliste. Êtes-vous vraiment en train de vivre la vie que vous rêviez alors que vous aviez 18 ans ? Êtes-vous pleinement satisfait et épanoui professionnellement ? Faites-vous autant d’argent que vous le méritez ? Prenez-vous autant de vacances que vous aimeriez ? Êtes-vous en relation avec la personne de vos rêves ? Avez-vous plusieurs amis proches sur qui vous pouvez compter en tout temps ? Avez-vous un beau physique et une santé de fer ?

Soyez honnêtes, vous pouvez faire mieux n’est-ce pas ? Afin d’y arriver toutefois vous devez absolument effectuer des changements dans votre cercle d’influence. Mais par où commencer me direz-vous ? Faites le test suivant…Comment identifier les voleurs de rêves dans votre viePrenez une idée, un projet ou un rêve qui germe en vous depuis longtemps mais qui nécessiterait que vous sortiez de votre zone de confort. Nous avons tous une ou des idées, projets ou rêves qui dorment à l’intérieur de nous. Ça pourrait être par exemple de changer d’emploi, de partir en affaires, de quitter une relation toxique, d’organiser une grosse levée de fonds pour des enfants défavorisés, de participer à un concours d’art oratoire ou de chanson, de mettre sur pied un tournoi de golf annuel, de faire le tour du monde en voilier, de déménager en Californie, de partir un club de ski, etc.Discutez ensuite de votre projet avec les gens qui font partie de votre cercle d’influence et écoutez leurs réactions. Prenez note en particulier de ceux qui vous feront des commentaires du genre : « Es-tu malade ? », « T’é complèment fou ! », « Tu rêves en couleur ! », « Ça ne marchera jamais ton affaire ! », « C’est trop risqué ! », « Tu devrais te trouver un vrai travail à la place! », « Un tel a déjà essayé et cela n’a pas fonctionné ! », « Un chausson avec ça ! », etc. CES PERSONNES DE VOTRE CERCLE D’INFLUENCE SONT CELLES QUE VOUS DEVEZ ECARTER LE PLUS POSSIBLE DE VOUS.

Ces personnes minent votre attitude positive, votre enthousiasme, votre jugement et votre confiance en vous. Pourquoi ces personnes ne vous encouragent-elles pas à la place ? Pourquoi ces personnes ne vous supportent pas ? Pourquoi ces personnes ne vous incitent-elles pas à réaliser vos projets ? Pourquoi ces personnes ne vous proposent pas leur aide pour vous aider à réussir ?

Voici quelques raisons :
- Parce qu’elles n’ont pas confiance en elles-mêmes ;
- Parce qu’elles ne se voient pas réussir un tel projet donc elles sont persuadées que vous ne le pouvez pas également ;
- Parce qu’elles ne vous aiment pas vraiment et ne veulent pas votre bonheur ;
- Parce qu’elles sont jalouses ;
- Parce qu’elles sont envieuses ;
- Parce qu’elles ne veulent pas vous perdre comme ami misérable ;
- Parce qu’elles ont une mauvaise attitude ;
- Parce qu’elles sont ignorantes ;
- Etc.
Est-ce vraiment le genre de personnes que vous désirez avoir dans votre cercle d’influence ? Des personnes qui n’ont pas confiance en elles-mêmes, qui ne veulent pas votre bonheur, qui sont jalouses, qui vous envient, qui veulent partager leurs misères, qui ont une mauvaise attitude ou qui sont ignorantes ? ÉVIDEMMENT QUE NON!

Regardez !
La prochaine fois qu’un « voleur de rêves » vous fait des remarques négatives par rapport à vos rêves, ouvrez grand les yeux et REGARDEZ BIEN. Oui regardez bien son style de vie, le quartier et la maison dans laquelle il vit, la voiture qu’il conduit, les vacances qu’il prend et les endroits où il va chaque année, sa santé et sa condition physique, son travail, son revenu annuel, ses amis, son niveau de bonheur et d’accomplissement personnel, etc. Et si vous ne changiez pas de place avec ce « voleur de rêves », demandez-vous qui est le plus fou des deux ?La prochaine fois que vous rencontrerez un « voleur de rêves », suivez ces cinq conseils :

1. Ne perdez pas d’énergie à répondre et à vous obstiner avec eux. Gardez plutôt votre énergie pour réaliser vos propres rêves. Ne vous abaissez pas à leur niveau.
2. Quittez cette personne en lui disant : « Peut-être as-tu raison et que mon projet ne fonctionnera pas. Je te laisserai savoir mon progrès. En passant, si ça fonctionne et que je commence à faire beaucoup d’argent, quand aimerais-tu que je te donne une chance de t’impliquer ? » ou encore « Peut-être as-tu raison et que mon projet ne fonctionnera pas, mais je préfère rêver en couleur que de vivre sans rêves ! ».
3. Une des plus grandes motivations des gagnants est de prouver aux autres qu’ils ont tort. Ne faites pas que parler de votre projet, faites-le avec passion, allez jusqu’au bout de votre ambition et prouvez-leur que vous aviez raison de croire en vous !
4. Changez d’environnement. Trouvez des endroits que fréquentent les gens qui ont du succès (chambre de commerce, association professionnelle, séminaires publics, gym, etc.) et investissez-y le plus de temps possible.
5. Plutôt que de partager vos rêves avec un « voleur de rêves », embauchez un coach ou trouvez-vous un mentor. Un bon coach ou un bon mentor va vous inspirer, vous éduquer, vous encourager et vous présenter à ses contacts. Avec son aide, vos chances de succès seront multipliées par dix !

Certains « voleurs de rêves » sont tellement négatifs que même lorsque vous allez commencer à obtenir du succès, ils vous diront : « Ça ne durera pas longtemps ! ». Quelle tristesse, n’est-ce pas ?
Votre succès futur dépend grandement de votre environnement et des gens que vous fréquentez sur une base régulière. Fuyez les « voleurs de rêves » et ne laissez entrer dans votre cercle d’influence que des gens qui vous encourageront et vous supporteront vers l’atteinte de vos rêves.

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Patrick Leroux CSP est conférencier professionnel et auteur de huit livres sur la motivation et les stratégies du succès. Vous pouvez le rejoindre au 450-932-3240 ou au 1-888-993-8882 et vous inscrire gratuitement à son bulletin du succès en cliquant sur www.patrickleroux.com <http://www.patrickleroux.com/>
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